Cette thèse de doctorat relève du domaine de la gestion des systèmes d'information et de la durabilité environnementale et répond aux besoins pressants soulevés par les préoccupations environnementales locales et mondiales et l'engagement mondial global des pays envers les17 objectifs de développement durable des Nations Unies. En particulier, la thèse aborde la portée de l'ODD 11 sur les villes et communautés durables qui est encore plus pressante et urgente dans les environnements méditerranéens.Liban est un petit pays montagneux situé sur la côte orientale de la Méditerranée, qui souffre de nombreux problèmes caractérisant les pays du pourtour méditerranéen. Tout en tentant d'évaluer la viabilité du concept de SmartCities pour le Liban comme voie vers des villes durables, la recherche a contribué à souligner que le Liban n'est pas prêt à mettre en œuvre le concept de SmartCity essentiellement en raison des infrastructures disponibles limitées et de l'absence de vision. du gouvernement menant à la réalisation des villes intelligentes, outre le manque/limite de ressources dédiées à un tel changement.La thèse a exploré la possibilité de s'appuyer sur les bâtiments verts comme une voie viable vers la construction durable au Liban et a par conséquent confirmé que les systèmes internationaux d'évaluation verte existent non seulement au Liban mais sont mis en œuvre et recommandés ;Le Liban a développé un GRS national qui est adapté aux bâtiments commerciaux existants mais qui n'est pas disponible pour les bâtiments résidentiels. L'analyse SIG a confirmé que les bâtiments verts existants sont encore timides et dispersés sur le territoire libanais. Cette timide adoption du GRS au Liban est probablement due au manque de sensibilisation au GRS comme alternative aux projets de construction conventionnels.Enfin, la recherche permet de comprendre sur quels aspects les acteurs inférentiels peuvent influencer l'adoption de la construction durable au Liban.L'analyse de construction a confirmé l'importance de la phase de préconstruction pour orienter la construction vers des constructions durables. L'analyse des réseaux sociaux construite a montré les réseaux directs et indirects existant dans une construction conventionnelle et verte, confirmant que les allers-retours entre les processus administratifs menant à la construction verte sont complexes. En tant que recommandations, la recherche indique que pour mettre en œuvre le changement, il est nécessaire d'étendre l'adoption de la GRS non seulement aux principales parties prenantes, mais également aux parties prenantes secondaires. Changement effectué par des moyens volontaires ou involontaires. le volontariat, la création d'un besoin de bâtiments verts au Liban devrait passer par diverses voies hiérarchiques afin qu'il soit réalisé. En commençant par des incitations financières et fiscales pour suivre l'échelon supérieur, en soutenant les entreprises entrepreneuriales conduisant à une adoption plus large en prélevant le risque financier. Deuxièmement, les acheteurs doivent être informés des avantages potentiels de posséder un bâtiment écologique, car le coût d'achat initial élevé sera compensé par l'efficience et l'efficacité élevées des ressources utilisées. Involontaire peut être par la promulgation de CS par le biais de la législation gouvernementale.En raison de la fréquence élevée des nœuds directeurs et de son portefeuille multiforme de récepteurs,l'OEA joue un rôle essentiel en tant qu'acteur inférentiel dans l'orientation vers la construction durable par le biais de programmes de sensibilisation et de soutien pédagogique aux universités.L'OEA peut jouer un rôle fondamental en préconisant de nouvelles réglementations gouvernementales et en imposant des normes environnementales plus élevées aux membres du syndicat.L'OEA peut inciter ses affiliés à passer de la construction conventionnelle à une construction durable via une augmentation des quotas et une réduction des coûts de permis.